
- Lieu
Grande salle
- Durée
1h55
- Tarifs
de 9 à 40 €
Présentation
Sociologie, politique, homosexualité… Le grand metteur en scène allemand Thomas Ostermeier fait théâtre de Retour à Reims, ouvrage autobiographique de Didier Éribon. Au sein d’un studio technique, une comédienne (incarnée par Irène Jacob) enregistre la voix off d’un documentaire réalisé à partir d’un essai de sociologie. C’est Retour à Reims, l’adaptation théâtrale du livre-phénomène de Didier Éribon créée par le metteur en scène Thomas Ostermeier. « Il m’a paru important de rendre compte, concrètement, de la dimension autobiographique de ce livre, explique le directeur de la Schaubühne Berlin. Pour cela, nous avons réalisé un film documentaire, sommes allés à Reims avec Didier Éribon, chez sa mère, dans sa cuisine, mais aussi dans certaines rues de Paris… » Perspectives théâtrales et images cinématographiques, considérations intimes et réflexions politiques, Retour à Reims analyse le rapport entre l’échec de la gauche à incarner un espoir pour les couches populaires et la montée de l’extrême droite. Le spectacle de Thomas Ostermeier s’attache à révéler les angles morts de notre société : mécanismes d’exclusion, disparition de la classe ouvrière… Un état des lieux humaniste de notre monde contemporain.
Distribution
En images





La presse en parle
"On sort sidéré de la représentation, ébloui par la force inouïe du théâtre. Ostermeier réinvente le théâtre politique".
Aller plus loin
Mentions de production
Production : Théâtre Vidy-Lausanne (Suisse)
Coproduction : Théâtre de la Ville – Paris, Théâtre national de Strasbourg, TAP – Théâtre et Auditorium de Poitiers, Scène nationale d’Albi, La Coursive – Scène nationale La Rochelle, Bonlieu – Scène nationale Annecy, MA avec Granit – Scènes nationales de Belfort et de Montbéliard, Espace Malraux – Scène nationale de Chambéry et de la Savoie, Théâtre de Liège (Belgique)
Production première version : Schaubühne Berlin avec Manchester international, Festival MIF – HOME Manchester, Théâtre de la Ville – Paris
Avec le soutien de Pro Helvetia – Fondation Suisse pour la Culture

