
- Lieu
Grande salle
- Durée
01:50
Présentation
Tout commence dans la chambre blanche d’Eugenia, une immense actrice qui se sait condamnée. Les personnages défilent à son chevet, et les bouquets de fleurs pleuvent littéralement sur elle comme autant de manifestations d’un amour indicible… Dans ce tourbillon de visites, une galerie de 14 personnages s’agite – certains hauts en couleurs, véritables remparts contre le pathos – pour tisser une pièce mouvementée et saisissante. Pièce après pièce, Pascal Rambert s’impose comme l’un des auteurs dramatiques français les plus marquants de notre époque. Après son magnifique Clôture de l’amour, récompensé par le Grand Prix de littérature dramatique, Pascal Rambert élève ici un monument à la gloire des actrices et rend un hommage enflammé au théâtre.
Distribution
En images











La presse en parle
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Marina Hands, royale, montre ici toute la palette de son talent dans le rôle écrasant d'Eugenia. Tour à tour tragique, espiègle, lyrique, elle irradie la scène deux heures durant. Les Échos>La scénographie est magnifique, des grands portiques de néons illuminent cette installation féérique. (...) Trop rare au théâtre, Marine Hands est totalement bouleversante. (...) Audrey Bonnet, toujours aussi géniale. Sceneweb>Tout ce petit monde s'embrasse, s'engueule, chante et vocifère tandis que la mort rôde autour de l'actrice, à laquelle Marina Hands prête une innocence magnifique. L'Express
