

- LieuCélestine
- Durée1h45 (envisagée)
- Tarifsde 9 à 29 €
- Bord de scènemercredi 14 janvier
Balade au cœur du quartier de la Confluence à Lyon à la rencontre de femmes délogées par la gentrification. Maxime Mansion et Leïla Cassar leur offrent un nouvel horizon.
Sujets délicats, pièce tendre.
Présentation
Elles s’appellent Denise, Jules, Suzanne, Louison et Keira. Elles sont travailleuses du sexe ou livreuses pour des startups et embrassent trois générations. Toutes connaissent le même sort : celui de ne plus pouvoir habiter à Confluence. Dans ce quartier récemment transformé, elles font désordre en poursuivant une liberté devenue inaccessible.
Sur scène, c’est dans un abribus que leurs destins se croisent et qu’elles attendent autant qu’elles entreprennent de changer de vie. Elles rêvent de laisser leur logement moisi et humide et espèrent qu’un autre avec « une vue qui évoque la mer » leur sera attribué.
Après avoir récolté les témoignages de personnes vivant « derrière les voûtes » de Perrache, l’autrice Leïla Cassar questionne la précarité de l’habitat, au cœur des enjeux socio‑économiques, tout comme la place des femmes dans l’espace public urbain, souvent pensé pour et par les hommes. Il revient à Maxime Mansion de mettre en scène avec délicatesse et tendresse les errances et les aspirations de ces cinq « inhabitantes ».
Distribution
En images




Aller plus loin
Mentions de production
Production : Compagnie EN ACTE(S), Compagnie Idio(m)rythmie
Coproduction : Les Célestins – Théâtre de Lyon
Soutiens et résidences : L’Inhabitante a bénéficié d’un FABLAB et de l’Aide à la création d’ARTCENA.
Le projet est accueilli en résidence par le Jardin de Verre – Cholet, L’Assemblée – Fabrique Artistique de la Ville de Lyon, la Scène de Pays – Beaupréau, le RIZE – Villeurbanne.
création le 6 janvier 2026 aux Célestins, Théâtre de Lyon