Les Limbes

- Lieu
Grande salle
- Durée
00:55
Présentation
Un homme en proie à ses fantômes s'éloigne de la rive et s'enfonce alors doucement dans les Limbes. Dans cette épopée nébuleuse, il rencontre d’irréels spectres, tour à tour méduses malicieuses, âmes vagabondes, doubles mystérieux. On est embarqué dans un étrange voyage, plongés au cœur d'un conte symbolique peuplé de créatures magiques.
Distribution
En images

La presse en parle
> Sur scène, l’artiste crée des tableaux oniriques baignés dans la grâce et la gravité du Stabat Mater de Vivaldi. Un moment rare et fascinant. Le Parisien > Le "Petit Prince" de l'effet hallucinatoire nous emmène, cinquante minutes durant, dans les coulisses d'un entre-deux-mondes. C'est beau et glaçant. Télérama > Un summum d’étrangeté onirique, méticuleusement réfractaire à toute classification. Libération > Le somptueux Les Limbes d'Étienne Saglio. Drôle de silhouette dégingandée, l'artiste au manteau rouge déploie son long voile blanc et ses jeux d'ombres et de lumières dans un solo splendide, rythmé par Vivaldi. Magique, évidemment. Marianne > Étienne Saglio fait naître comme par enchantement des images fantastiques et envoûtantes, baignées par la musique du Stabat Mater de Vivaldi. Le Monde > En silence ou en musique, sur l’air du magnifique Stabat mater de Vivaldi, l’artiste nous fait valser dans un ballet somptueux mais jamais esthétisant. Le parti pris d’un plateau nu, épuré, ne rend que plus grandiose l’irruption de formes volatiles, mais surtout leur engloutissement quasi instantané dans le sol. Des moments suspendus, éphémères, à la féerie rare. Les Trois Coups.fr