les actrices Liza Blanchard, Judith Henry, Nathalie Richard, Maryvonne Schiltz et les acteurs des films Yannick Choirat, Alex Descas, Wajdi Mouawad, Laurent Poitrenaux
Alexandra Badea compose, dans une écriture tranchante, une partition qui résonne comme un roman policier ; l’histoire d’une femme qui cherche une autre femme, sans savoir pourquoi elle la cherche ni si elle est encore en vie. Clara est en quête de réponses : pourquoi son père a-t-il gardé le sac d’une femme inconnue toutes ces années ? Qui était cette femme ? Quand se sont-ils connus et quels étaient leurs rapports ? Elle va donc rencontrer différentes femmes qui ont toutes en commun de porter le nom de la disparue, Anna Girardin. Mais la véritable Anna Girardin n’a pas disparu. Marchande d’art, elle voyage aux quatre coins du monde, solitaire.
Les motifs du statut de mère, de la transmission mère/fille, de l’amour contraignant et de la quête d’identité, articulent le suspens du récit, mis en scène par Anne Théron et servi par une superbe distribution.
Plein tarif (de la 1ère à la 4e série) : 38 € / 32 € / 24 € / 17 €
Tarif réduit*(de la 1ère à la 4e série) : 34 € / 29 € / 22 € / 15 €
Demandeurs d’emploi / personnes handicapées(de la 1ère à la 4e série) : 22 € / 19 € / 15 € / 10 €
Jeunes -26 ans(de la 1ère à la 4e série) : 19 € / 16 € / 12 € / 9 €
*Tarif réduit : +65 ans, groupes (min. 10 personnes), familles nombreuses
TARIF DERNIÈRE MINUTE : 9 € Sur l’ensemble de la programmation des Célestins sauf Ça va ?
15 min avant le début de la représentation, pour les -26 ans, les étudiants, les bénéficiaires de la CMU ou du RSA. Dans la limite des places disponibles et sur présentation d’un justificatif de moins de 3 mois.
Collaboratrice artistique – Daisy Body / Scénographie et costumes – Barbara Kraft / Lumière – Benoît Théron / Son – Sophie Berger / Vidéo – Nicolas Comte, Jessy Jacoby-Koaly / Piano – Jeanne Garraud / Batterie – Mickaël Cointepas / Violoncelle – Raphaël Ginzburg / Prise de son – Marc Arrigoni – Paon Record / Accompagnement au chant – Anne Fischer / Images – Nicolas Comte / Montage – Jessye Jacoby-Koaly / Ont participé aux tournages Romain Gillot Ragueneau et Elphège Kongombe Yamale (figurants), Marie-Laure Texier (maquilleuse), Jeff Grosdemange (ingénieur du son), Marc-Antoine Modol (électricien), Johanna Boyer-Dilolo (régisseuse)
Les décors et les costumes sont réalisés par les ateliers du Théâtre national de Strasbourg.
Production : Théâtre national de Strasbourg, Compagnie Les Productions Merlin Coproduction : La Passerelle – Scène nationale de Saint-Brieuc, Célestins – Théâtre de Lyon, La Colline – Théâtre national, Comédie de Béthune – Centre dramatique national Avec le soutien du T2G-Théâtre de Gennevilliers – Centre dramatique national de création contemporaine
La Compagnie Les Productions Merlin est conventionnée par le Ministère de la Cultureet de la Communication, la DRAC Nouvelle Aquitaine et la Région Nouvelle Aquitaine.
L’Arche est agent théâtral du texte représenté.
Le texte est lauréat de la Commission nationale d’Aide à la création de textesdramatiques – ARTCENA
Création le 25 janvier 2018 au Théâtre national de Strasbourg
On ressort du spectacle, enrichi de sa propre réflexion et des pérégrinations qui y ont mené. Du théâtre dans toute sa force qui s’échappe de la scène pour happer la vie à pleines mains. Dernières nouvelles d’Alsace
Le dialogue entre l’homme filmé et la femme physiquement sur scène se déroule, pour nous spectateurs, de la manière la plus naturelle possible. Il y a une fluidité, un parfait synchronisme dans le montage entre les répliques de l’homme, « figées » par la caméra, et celles de la femme qui sont toujours susceptibles de varier d’une représentation théâtrale à l’autre. Tout est juste : les intonations, les silences. C’est Nathalie Richard qui interprète cette Anna-là. Une grande actrice. UBU, Scènes d’Europe
Fruit de la rencontre féconde entre celle qui écrit, Alexandra Badea, et celle qui met en scène, Anne Théron, À la trace explore la relation entre mère et fille. Une pièce pour quatre actrices, un spectacle qui sait bien faire usage du cinéma. Une très belle navigation entre deux mères. Balagan, le blog de Jean-Pierre Thibaudat
Remarquablement interprétée et mise en scène cette investigation passionnée questionne la complexité des rapports de filiation dans un monde bouleversé par les réseaux sociaux et la réalité virtuelle. Culturebox